La confidentialité est le socle éthique du coaching professionnel.

Sans elle, il n’y a ni confiance, ni authenticité, ni transformation possible. Le coaching est un espace protégé, où la parole peut se libérer sans crainte d’être exposée ou instrumentalisée. C’est cette confidentialité qui permet au coaché d’explorer ses zones de vulnérabilité, ses dilemmes, ses tensions… en toute sécurité.

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En résumé

Ce qui se dit en coaching reste en coaching.
Non par secret, mais par respect.
Pas par confort, mais par exigence éthique.

C’est cette confidentialité qui permet : la profondeur des échanges, la sécurité du processus, la liberté du coaché

C’est cette discrétion qui ouvre la voie à la profondeur et à la transformation.
– Delphine Roset, coach et fondatrice Osalys

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Que signifie « confidentiel » dans le cadre du coaching ?

La confidentialité en coaching implique que :

• Tout ce qui est dit en séance reste dans la séance
• Le coach ne divulgue aucune information à un tiers (manager, RH, collègues, proches) sans accord explicite du coaché
• Le coach ne conserve aucune trace exploitable des échanges (pas d’enregistrement, pas de diffusion)
• Le coach protège l’identité et les enjeux du coaché, même dans ses échanges professionnels ou en supervision

Le coaching est un espace de parole libre, mais jamais exposée.

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Ce que dit le code de déontologie

Les principales fédérations de coaching encadrent strictement la confidentialité :

• ICF (International Coaching Federation)
  « Le coach respecte la confidentialité des informations échangées, sauf obligation légale ou danger imminent. » Code de déontologie ICF
• EMCC (European Mentoring and Coaching Council)
  « Le coach garantit la confidentialité, sauf en cas de menace grave ou de demande légale. ». Code éthique EMCC
• SFCoach (Société Française de Coaching)
  « Le coach est tenu au secret professionnel. Il ne transmet aucune information sans l’accord du coaché. » Charte SFCoach

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Pourquoi cette confidentialité est-elle essentielle ?

• Elle permet au coaché de parler sans filtre, sans peur du jugement ou des conséquences
• Elle crée un cadre de sécurité psychologique, propice à la prise de recul et à la transformation
• Elle garantit que le coaching reste au service du coaché, et non d’un tiers ou d’un agenda caché
• Elle protège le processus de maturation intérieure, souvent fragile et intime
• Sans confidentialité, le coaching devient une conversation stratégique. Avec elle, il devient un espace de vérité.

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Y a-t-il des exceptions ?

Oui, mais elles sont rares et encadrées :

• En cas de danger imminent (violence, suicide, mise en danger d’autrui), le coach peut alerter les autorités compétentes
• En cas de demande légale ou judiciaire, le coach peut être tenu de transmettre certaines informations
• En supervision, le coach peut partager des situations anonymisées, sans jamais révéler l’identité du coaché

Ces exceptions sont expliquées clairement au coaché dès le début de l’accompagnement.

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Et dans le coaching en entreprise ?

La confidentialité reste intégrale, même dans un cadre professionnel.

Le coach ne transmet aucun contenu de séance au manager ou à la DRH

• Seuls les objectifs et indicateurs de progression peuvent être partagés, avec l’accord du coaché
• Le coaché reste maître de ce qu’il souhaite communiquer à son environnement

Le coaching n’est pas un outil de reporting. C’est un espace de développement professionnel.

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Ce que nous garantissons chez Osalys

Chez Osalys, nous nous engageons à :

• Respecter strictement la confidentialité de tous les échanges
• Informer clairement le coaché des limites légales éventuelles
• Protéger l’identité du coaché dans tous nos supports, témoignages ou études de cas
• Travailler dans le respect des chartes déontologiques ICF, EMCC et SFCoach

Chez Osalys, ce qui se dit reste entre nous — et ce qui se fait, se fait dans les règles.

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Pour aller plus loin

• Code de déontologie ICF (FR)
• Charte éthique EMCC
• Charte SFCoach